Alice Bailey - extraits de ses livres
Voici le 24 livres qu'Alice
Bailey a écrite en collaboration avec Maître Djwhal Khul, le
Maitre Tibétain. 30 ans de travail (entre 1919 et 1949) -
Téléchargement ici: Urobore
http://www.lucistrust.org/fr/
Un enseignement ésotérique d'environ 10 000 pages
Alice Bailey décrit la téchnique de la transmission des livres
dans son autobiographie inachevee.
"Je garde le plein contrôle de tous mes moyens de perception et
il n'y a rien d'automatique dans ce que je fais. Simplement
j'écoute et j'écris les mots que j'entends; j'enregistre les
pensées qui sont déposées, une à une, dans mon cerveau.
Je ne fais aucun changement entre ce que je donne au public et ce
qui m'a été donné, si ce n'est que j'adoucis l'anglais et que je
remplace un mot peu usité par un autre plus clair, prenant
toujours soin de conserver le sens tel qu'il est donné. Je n'ai
jamais rien changé à ce que le Tibétain m'a donné. Si je l'avais
fait, ne serait-ce qu'une fois, Il ne m'aurait plus rien dicté.
Je veux que cela soit très clair. Je ne comprends pas toujours ce
qui est donné. Je n'y adhère pas toujours. Mais je transmets tout
honnêtement et, alors, je découvre que cela a un sens et évoque
une réponse intuitive."
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"Autobiographe
inachevee" Alice Bailey - Page 246 - Editions
Lucis Trust - Maître Tibétain - Mon oeuvre -
Djwhal Khul |
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En 1919, dans le courant du mois de
novembre, je me mis en rapport avec Alice Bailey et lui
demandai de rédiger pour moi certaines choses, et de
s'occuper également de faire publier certains ouvrages
qui, suivant l'ordre adopté pour faire connaître la
vérité, devaient bientôt paraître.
Elle refusa immédiatement, n'éprouvant
aucune sympathie pour les soi-disant écrits sur
l'occultisme que distribuaient au public les divers
groupes d'occultistes ; elle n'avait aucune expérience
dans l'art de s'adresser par écrit au public ; et elle
entretenait également une profonde aversion à l'égard de
toute forme d'écrits et de travail psychiques.
Plus tard, elle changea d'idée, après
que je lui eus expliqué que l'existence des rapports
télépathiques était prouvée et qu'ils étaient l'objet de
recherches scientifiques, qu'elle-même n'était ni
clairvoyante ni clairaudiente, qu'elle ne le serait jamais
et que, par-dessus tout, la meilleure preuve de vérité
était la vérité elle-même.
Je lui déclarai que si elle consentait
à écrire pendant un mois, ce qu'elle transcrirait lui
prouverait que la vérité s'y trouvait, soit en évoquant
intuitivement la compréhension
et la reconnaissance, soit en montrant l'existence
d'éléments de valeur pour la nouvelle ère spirituelle dont
la venue était prochaine.
Elle surmonta donc son aversion pour ce
genre de travail et pour les nombreuses présentations
occultes de la vérité ; elle stipula seulement que l'œuvre
ne devrait être accompagnée d'aucune prétention quelle
qu'elle soit et que les enseignements présentés devraient
être jugés d'après leurs propres et seuls mérites.
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